CHARLEROI : Nouvel hôtel de police

www.lavenir.net a écrit:Le dossier de l'hôtel de police de Charleroi a franchi une étape importante. Hier, le ministre wallon des Pouvoirs locaux, Paul Furlan, a marqué son accord sur l'adjudication du dossier relatif au financement alternatif du nouvel hôtel de police.
Concrètement, cela signifie que la Ville de Charleroi peut compter sur 14 millions ¤ de subsides sur les quelque 45,7 millions ¤ nécessaires à la conception, à la construction et au financement du bâtiment tant attendu par le personnel.

Le nouveau bâtiment sera construit sur le site de la caserne Defeld. Il intégrera la salle de répétition du centre chorégraphique Charleroi/Danses qui n'est pas concerné par le subside octroyé par la Région wallonne.

www.lavenir.net a écrit:Nouvel hôtel de police dans 40 mois

La Tutelle a approuvé le marché et débloqué les subsides. L'échevin Éric Massin se réjouit de la conclusion de ce dossier entamé en 2007.

La nouvelle est tombée en début de soirée, ce mardi : le ministre des Pouvoirs locaux, Paul Furlan, a tout à la fois marqué son accord sur l'adjudication du dossier relatif au financement du nouvel hôtel de Police et confirmé l'octroi d'un subside régional à hauteur de 14 millions¤.

Pour rappel, évoqué depuis 2007, ce nouvel hôtel de police sera construit sur le site de la caserne Defeld, au boulevard Mayence, et comptera vingt mille m2 de surfaces brutes, avec onze mille m2 de parkings souterrains.

Au-delà de ces nouveaux volumes consacrés à l'activité policière, une partie des nouveaux bâtiments abritera également les studios de répétition du centre chorégraphique Charleroi-Danses dont les Écuries sont voisines.

Hier, l'échevin Éric Massin, en charge, entre autres, de l'Urbanisme, ne boudait pas son plaisir : «Ce sont plus de trois ans de travail qui aboutissent. Ça fait plaisir à la Ville et à la police de constater que la tutelle a confirmé à la fois l'adjudication et le subside promis. Mais il aura fallu le temps car, c'est tout de même en décembre dernier que la Ville a attribué le marché public» . L'échevin n'en dira cependant pas plus sur le profil architectural du futur hôtel de police. Il avoue : «La taille du projet et son impact sur ce quartier sont tels que nous préférons attendre de pouvoir tout dévoiler en une fois. Car le dossier sera confié à un architecte de renommée internationale» .

Le financement total des travaux reste estimé de 54 à 56 millions¤, dont 50 à 52 millions¤ pour la partie police et 4 millions¤ pour la partie Charleroi-Danses.

Éric Massin assure prendre contact avec le soumissionnaire, un consortium temporaire d'entreprises de travaux, avant la fin de cette semaine. «L'entrepreneur aura alors 40 mois «jours calendrier» pour livrer le bâtiment», conclut l'échevin.

www.l'avenir.net a écrit:Après la gare du midi à Bruxelles et le PASS à Frameries, Jean Nouvel conçoit à Charleroi le nouvel hôtel de police. Sous le signe de l’audace.

Audace, couleur et monumentalité : c’est le triple pari sous lequel les ateliers d’architecture Jean Nouvel ont placé la conception à la fois du futur hôtel de police de Charleroi sur le site de l’ex-caserne Defeld et de l’extension des écuries de Charleroi Danse.

Déposé par le consortium CFE dont l’offre a été retenue par un jury d’experts présidé par la directrice de la cellule architecture de la fédération Wallonie-Bruxelles Chantal Dassonville, ce projet PPP (partenariat public privé) a récemment reçu confirmation de l’octroi d’un financement wallon pour 14 de ses 45,7 millions de coût. Lors d’une présentation ce vendredi, l’échevin de l’Aménagement urbain Éric Massin a indiqué que son exécution s’étalerait sur une durée de 40 mois. Trois ans et demi s’écouleront donc avant que la police n’investisse les lieux.

L’aplomb de ce projet, c’est l’intégration dans un bâti du XIXe siècle (NDLR : conçu pour répondre aux besoins de la cavalerie de la gendarmerie) d’une tour passive d’une hauteur maximale de 75 mètres. Un signal dans le paysage urbain. L’atelier de Jean Nouvel l’a imaginé sous la forme d’un cylindre à géométrie variable façonné de briques bleues. Pour rappeler sa fonctionnalité, dit-il, et en contraste avec l’extension du QG de Charleroi danses pour lequel l’architecte a pris le parti du rouge.

Dans les deux cas, la programmation respecte l’inventaire de besoins établis. Elle s’inscrit également en harmonie avec l’histoire du site : c’est ainsi que l’auteur de projet a choisi de maintenir l’ancien château d’entrée de la caserne sur le boulevard Mayence. Un château baroque qu’il qualifie de bizarre : son maintien devrait faire rapidement l’objet d’un débat public. « Il ne faut pas garder les éléments d’architecture pour le seul principe de ne pas avoir à les détruire », observe Chantal Dassonville en rappelant que c’est leur utilité qui doit déterminer leur préservation.

Comme le projet s’insère dans une vaste dynamique de revitalisation urbaine (réaffectation de l’hôpital civil, de la caserne Trésignies et du quartier du stade de foot), le bureau d’architecture a joué l’ouverture : les bâtiments de part et d’autre du « petit château d’entrée » seront démolis pour renforcer l’accessibilité et la visibilité du complexe de police de 40.000 mètres carrés utiles.

Cela créera aussi une place centrale et conviviale sur l’ancienne cour de manœuvre. Comportant un vaste parking à trois niveaux, la programmation s’appuie sur les deux ailes de bâtiments existants qui seront rénovées. Un double « tunnel de liaison » les reliera à la tour elliptique, rythmée par des fenêtres de différents niveaux.

Toutes les fonctions y seront intégrées : accueil, audition, enquête, proximité, intervention, détention. La modularité des volumes permettra d’y apporter les dernières adaptations, dit Jean Nouvel qui a pris l’option de la sobriété pour les aménagements intérieurs en matériaux durables.

Le futur hôtel de police de Charleroi: un phare au cœur de la ville (20 juin 2011)

40 000 m², quatre ans de travaux pour un budget de 50 millions d'euros. Le projet est ambitieux. Cette tour de 20 étages, de couleur bleue et aux fenêtres asymétriques, a été présentée officiellement en présence de l'architecte Jean Nouvel, connu mondialement.

Après notamment l'Institut du monde arabe et le musée du Quai Branly à Paris, l'architecte Jean Nouvel s'attaque aujourd'hui à la réalisation de ce commissariat, un bâtiment qui sera le symbole de sa fonction.

Jean Nouvel explique : ''C'est une petite tour. Elle a effectivement la couleur bleue marine, qui permet de suggérer les forces de l’ordre. Je suis pour l’architecture de situation. Un hôtel de police doit traduire une certaine forme de protection.''

Cette future tour bleue, sorte de phare symbolisant la police, provoquera sans doute des débats, comme tous les grands projets architecturaux.

Mais pour la police de Charleroi, ce bâtiment s'inscrit en tous cas dans une volonté de présence plus identifiée dans la ville.

Philippe Stratsaert, chef de corps : ''C’est en tout cas une réelle volonté d’ouverture et d’intégration de la police dans la communauté carolorégienne. Je pense que le projet présenté ici y parvient admirablement. Pour l’ensemble des partenaires, pour la ville de Charleroi, c’est un signal très fort.''

Police et architectes doivent encore se rencontrer pour affiner le projet et rendre ce futur commissariat conforme aux exigences d'un service de police moderne.

Fin des travaux prévue fin 2014, début 2015.

Jean Christophe Adnet, Xavier Van Oppens

Le futur hôtel de police de Charleroi primé à Cannes (9 mars 2012)

Le projet participait à un concours européen dans le cadre du MIPIM, le marché international des professionnels de l'immobilier. Il a été distingué dans la catégorie "projets futurs".

Ce commissariat ultra-moderne, conçu par l'architecte français Jean Nouvel et un bureau bruxellois d'architecture, se composera d’une tour de 75 mètres de haut, faites de briques bleues pour rappeler le logo de la police.

Les premières évaluations tablent sur quatre ans de travaux pour ériger les 20 étages du futur hôtel de police. Une tour qui développerait une superficie totale de 40 000 m², pour un budget estimé à 50 millions d'euros.

L'architecte mondialement connu, Jean Nouvel, a notamment réalisé l'Institut du monde arabe et le musée du Quai Branly à Paris.

Christine Borowiak

La Nouvelle Gazette a écrit:La première pierre du nouvel hôtel de police de Charleroi a été posée mercredi en présence de nombreuses personnalités politiques carolos et de l’architecte, Jean Nouvel.

Le projet d’ensemble, primé il y a quelques mois au MIPIM (Marché international des professionnels de l’immobilier), prévoit notamment la construction d’une tour pour les forces de l’ordre et de nouveaux espaces pour la compagnie Charleroi/Danses.

Ce projet doit marquer une étape dans le redéploiement de la métropole, a affirmé au moment des discours Eric Massin, le bourgmestre de Charleroi. Selon lui, la force du projet est d’allier des volets policier et culturel.

Jean Nouvel, dont le bureau d’architecture a été associé à la conception du projet, a quant à lui indiqué que sa volonté avait été d’intégrer la future tour en forme de cylindre elliptique de 75 mètres dans son environnement et dans la ville.

A terme, la police pourra compter sur quelque 25.000 mètres carrés d’espace. La compagnie Charleroi/Danse profitera quant à elle de quelque 2.500 mètres carrés. Le montant des travaux est estimé à

quelque 52 millions d’euros, réunis grâce à un partenariat public-privé.

La fin des travaux est programmée dans le courant de l’année 2014.

La Nouvelle Gazette a écrit:le nouvel hôtel de police se dévoile de l'intérieur

Sa couleur bleue ne passe plus inaperçue dans le paysage. L’échafaudage s’enlève, la tour du nouvel hôtel de police de Charleroi entre dans ses dernières finitions. L’extérieur est quasi fini, reste à s’attaquer à l’intérieur. 75 mètres de haut et vingt étages pour accueillir les différents services de la zone de police. Du sol au plafond, arrondis, évidemment, l’ensemble prend forme. Petit tour du propriétaire…

Chaque jour, les échafaudages laissent entrevoir la couleur bleutée de cet énorme édifice qu’est le nouvel hôtel de police de Charleroi. 75 mètres de haut, des fenêtres partout et surtout un concentré de technologie pour bientôt accueillir les différents services de la police carolo. Chaque étage a déjà sa fonction et s’aménage petit à petit.

« Le rez-de-chaussée est consacré à l’accueil des citoyens qui seront redirigés vers les services adéquats », indique Philippe Stratsaert, chef de corps de la zone de police de Charleroi, « à l’arrière, une grande salle pour les briefings et les formations. »

Casque de chantier sur la tête, il nous emmène entre les murs de la bâtisse. Pour le côté spectaculaire : rendez-vous au vingtième étage, une future salle de réunion. De là, vue imprenable sur toute la ville… et au-delà. « Les vitres font 5 mètres de haut et sont différentes en fonction de leur orientation nord ou sud. Il s’agit d’une construction passive. Tout est pensé pour l’énergie. Il n’y a d’ailleurs pas de chauffage. La régulation se fait via un système de tuyaux », présente-t-il. Celui-ci n’hésite pas à descendre d’un étage, au 19e, pour nous présenter ce qui sera son futur bureau. Sous les gravats, on s’imagine déjà.

masillon jean-francois a écrit:Je recherche une place d'agent de police même sur Charleroi pourrait ont me dire si une zone recrute.
Merci à vous

masillon jean-francois a écrit:Si nouveau bâtiment nouvelle demande d'agent

La Nouvelle Gazette a écrit:La police locale de Charleroi annonce qu’elle entamera son emménagement dans ses nouveaux locaux à partir du mardi 7 octobre. Trois services prendront leurs marques en premier lieu. Un «Carolo Police Day» sera quant à lui organisé les 29 et 30 novembre afin de permettre à la population de visiter la tour Jean Nouvel.

Ce mardi 7 octobre à 14H00, la police locale entamera son déménagement vers la tour Jean Nouvel par le déplacement de trois services: l’accueil zonal, l’intervention et le centre locale de communications. Les citoyens souhaitant un renseignement ou déposer plainte se présenteront donc dès cet instant au rez-de-chaussée de la nouvelle tour.

Un planning strict a été établi pour assurer la continuité du service aux Carolos. Cette journée «charnière» dans l’occupation du nouvel espace de travail sera suivie par l’ensemble des services de la police de Charleroi (y compris ceux de l’hôtel de police annexe de Jumet), et ce jusqu’au 27 octobre.

Un «Carolo Police Day» sera en outre organisé le week-end des 29 et 30 novembre, entre 10hOO et 18h00, pour permettre aux Carolos de découvrir cette nouvelle référence du paysage architectural de Charleroi.

Pour rappel, la tour Jean Nouvel s’étend sur 42.000 mètres carrés (dont 17.000 en souterrain), comporte 400 emplacements de parking, 38 caméras de surveillance, 1.600 détecteurs incendie, un vaste auditoire, une cafétaria de plus de 300 mètres carrés, une trentaine de douches, 24 cachots et 12 ascenseurs.

La Nouvelle Gazette a écrit:Le nouvel Hôtel de police de Charleroi, situé dans le quartier de la Ville-Haute, a été officiellement inauguré vendredi, en présence du ministre-président de la Région wallonne et bourgmestre de Charleroi, Paul Magnette. Haut de vingt étages, l’édifice aura coûté 121 millions d’euros.

Paul Magnette a décrit ce nouvel Hôtel de police comme un espace ouvert au citoyen, proche des installations de «Carolo danses», rénovées elles aussi et appelées à revitaliser tout ce quartier de Charleroi.

L’architecte Jean Nouvel, concepteur du bâtiment, a évoqué le cocktail inattendu, la culture étant ici proche de la police, avec en outre la proximité du «Musée des Beaux-Arts».

Le commissaire en chef de la zone de police, Philippe Stratsaert, a rappelé qu’il s’agissait d’une tour passive, haute de vingt et un niveaux, outre les trois en sous-sol. Les travaux ont débuté au printemps 2012 et duré 29 mois. La tour de 75 mètres est dotée de tous les perfectionnements techniques en matière de chauffage passif et d’énergie.

Elle fait aussi l’objet d’un contrat de maintenance permanente de 25 ans et a déjà suscité de nombreuses visites de curieux. Ces visites vont se poursuivre, dès ce week-end, pour les familles des quelque 1.000 policiers de la zone de Charleroi, avant une journée «portes ouvertes» dédiée au public le dernier week-end de novembre.

La Nouvelle Gazette a écrit:Inauguré en novembre dernier et présenté par le bourgmestre lui-même comme « le plus moderne de Belgique et l’un des plus beaux d’Europe », le nouvel hôtel de police de Charleroi fait le malheur, au quotidien, des policiers qui y sont installés. Pas pratique, peu convivial, mal insonorisé, mal conçu, les récriminations pleuvent de l’intérieur... en sourdine.

Nous avons pu faire un petit tour du propriétaire, qui a confirmé ce que plusieurs agents nous avaient déjà révélé sur la conception du bâtiment flambant neuf.

La sécurité : dès l’entrée du bâtiment, beaucoup s’interrogent déjà. «pas de portique de sécurité, vous pouvez y entrer armé ! »

Les murs pourrissent : « Nous sommes vraiment dans une espèce de bombe à retardement ! », nous glisse un policier : « L’humidité est présente en permanence. Les murs du bâtiments... ce ne sont pas des murs plein, ce sont des surfaces de bois peintes, avec de la laine de verre. Et tout cela pourrit déjà, quelques semaines après l’inauguration. On le sent moins maintenant, mais voici deux semaines encore, il suffisait de sortir de l’ascenseur pour être pris par une odeur de champignons. » Depuis, ces murs pourris restent bâchés de noir...

L’hygiène : « Par étage, il n’y qu’une seule toilette, alors qu’en moyenne, entre 20 et 40 policiers sont installés. »

Fenêtres fermées : « Aucune des fenêtres du bâtiment ne s’ouvre. Nous sommes dans un espace clos. Il m’est déjà arrivé d’auditionner des gens... réellement puants. L’odeur reste, c’est à la limite du supportable ! »

La Nouvelle Gazette a écrit:Les infiltrations ont bien été constatées dans le nouveau commissariat inauguré à l’automne dernier. L’entrepreneur a été averti des problèmes et tente d’y remédier.

Des infiltrations d’eau ont bien été constatées dans le nouveau commissariat de police de Charleroi inauguré à l’automne dernier, a indiqué mercredi après-midi Philippe Stratsaert, le chef de corps de la police de Charleroi. Les journaux du groupe SudPresse faisaient état mercredi matin de ces problèmes.

Selon Philippe Stratsaert, l’entrepreneur a bien été averti du problème que posaient ces infiltrations. Il va tenter d’y remédier en vertu de la mission de maintenance que prévoit le contrat le liant à la Ville de Charleroi. Ce dernier court sur une durée de 25 ans et permet selon Philippe Stratsaert à la police de recourir aux services de l’entrepreneur sans débourser de supplément.

Ce qui est clair, c’est que ce bâtiment offre de bien meilleures conditions de travail que le précédent que nous occupions, a affirmé Philippe Stratsaert. Le nouveau commissariat dispose notamment selon lui de davantage de sanitaires. Si l’entrée du site n’est pas protégée par un portique, peu de commissariat en disposent d’après le chef de corps. Cela ne veut pas dire que le bâtiment n’est pas protégé, les vitres des étages inférieurs sont blindées par exemple, a affirmé Philippe Stratsaert. Cette absence de portique relève en outre selon lui d’une volonté des concepteurs d’ouvrir le commissariat sur la ville. Le nouveau bâtiment a été imaginé dans les bureaux de l’architecte français Jean Nouvel.

La Nouvelle Gazette a écrit:a tour de police prend l'eau, mais elle se fissure aussi

On savait que la nouvelle tour de police prenait l’eau et que l’humidité rongeait les structures en bois. D’autres policiers, qui souhaitent conserver l’anonymat, reviennent vers nous maintenant, pour nous montrer que le bâtiment tout neuf se fissure également en de nombreux endroits !

Ce n’est pas nous qui le disons, ce sont les policiers de Charleroi travaillant au sein de la tour de police qui l’affirment, clichés à l’appui : non seulement le tout nouveau bâtiment prend l’eau, mais même les murs extérieurs se fissurent, quasiment depuis le début.

« Vous savez », nous dit-on pas plus tard que ce lundi encore, « l’eau qui traverse les murs, c’est depuis le début, comme ces fissures qui sont apparues dès le début des maçonneries. Un bâtiment tout neuf, avec des parements qui tombent et des jointures qui se désagrègent ! » Et de nous montrer des clichés reproduits ci-contre, pour prouver la véracité de ces dires.

« Ici, cela fait des mois que l’on voit casser et démonter à gauche et à droite, en espérant trouver les points d’entrée d’eau. Il aurait suffi de peindre la tour avec une peinture ad hoc… »

Ce que nous décrivions voici deux semaines se confirme, de toute manière. L’hôtel de police, très beau, édifié dans un temps record, ne plaît réellement pas aux policiers qui y travaillent au quotidien. Car il n’y a pas les dégâts qui apparaissent déjà…